Les porteurs de projet ont donc réétudié leurs plans et monté une nouvelle version, qui « entend répondre aux observations de la CNAC ». Ils ont aussi essayé de défendre leur agrandissement en s’appuyant sur les mutations du quartier. Le dossier évoque la construction de 130 logements sur une friche industrielle voisine, engendrant de nouveaux besoins de communication.
Il assure aussi que « l’impact économique du projet sera limité sur le commerce des communes limitrophes et également sur le centre-ville de Rouen, notamment grâce au fort attrait touristique de cette commune, au développement des modes alternatifs à la voiture et aux cheminements piétons ».